L’infarctus n’est pas réservé aux hommes
Depuis que les femmes ont adopté le même style de vie que les hommes, elles sont concernées de plus en plus jeunes.
Chez les femmes de moins de 50 ans, les infarctus ont triplé ces 15 dernières années.
Et dans près de la moitié des cas, ils se manifestent par des symptômes méconnus des femmes,
ce qui réduit leur chance d’être prises en charge à temps.
Des conséquences plus graves chez les femmes
"Les femmes sont moins bien dépistées et prises en charge plus tardivement.
Les études montrent qu’elles arrivent dans les services d’urgence une heure plus tard que les hommes...
Ce retard de diagnostic est grave puisqu’il peut conduire à un retard de prise en charge thérapeutique.
C’est une véritable perte de chance, car les femmes se remettent plus difficilement.
Leurs artères sont plus difficiles à revasculariser, plus fines et plus fragiles que celles des hommes..."
explique le Professeur Claire Mounier-Vehier, présidente de la Fédération Française de Cardiologie.
L’infarctus n’est pas réservé aux hommes
Depuis que les femmes ont adopté le même style de vie que les hommes, elles sont concernées de plus en plus jeunes.
Chez les femmes de moins de 50 ans, les infarctus ont triplé ces 15 dernières années.
Et dans près de la moitié des cas, ils se manifestent par des symptômes méconnus des femmes,
ce qui réduit leur chance d’être prises en charge à temps.
Depuis que les femmes ont adopté le même style de vie que les hommes, elles sont concernées de plus en plus jeunes.
Chez les femmes de moins de 50 ans, les infarctus ont triplé ces 15 dernières années.
Et dans près de la moitié des cas, ils se manifestent par des symptômes méconnus des femmes,
ce qui réduit leur chance d’être prises en charge à temps.
Des conséquences plus graves chez les femmes
"Les femmes sont moins bien dépistées et prises en charge plus tardivement.
Les études montrent qu’elles arrivent dans les services d’urgence une heure plus tard que les hommes...
Ce retard de diagnostic est grave puisqu’il peut conduire à un retard de prise en charge thérapeutique.
C’est une véritable perte de chance, car les femmes se remettent plus difficilement.
Leurs artères sont plus difficiles à revasculariser, plus fines et plus fragiles que celles des hommes..." explique le Professeur Claire Mounier-Vehier, présidente de la Fédération Française de Cardiologie.
Près de la moitié des femmes victimes d'un infarctus n'ont pas eu de symptômes classiques
Appartenez–vous à une population à risque ?
Vous multipliez les chances de faire un infarctus si :
vous fumez,
vous associez tabac et pilule contraceptive,
vous êtes très stressée,
vous ne faites pas d’activité physique régulière,
vous avez du diabète ou du cholestérol,
vous faites de l’hypertension artérielle.
Si vous appartenez à une population à risque, ces signes doivent vous alerter :
Oppression thoracique
Difficultés à respirer
Palpitations
Essoufflement à l’effort
parfois au repos
Grande fatigue persistante
Troubles digestifs, Nausées
Les femmes ont tendance
à sous-estimer la douleur.
La plupart du temps, elles négligent
ces manifestations, les associant à
tort au stress, à la fatigue ou même
à des problèmes digestifs.
Les femmes ont tendance
à sous-estimer la douleur.
La plupart du temps, elles négligent ces manifestations, les associant à tort au stress, à la fatigue ou même à des problèmes digestifs.
Les femmes ont tendance
à sous-estimer la douleur.
La plupart du temps, elles négligent ces manifestations, les associant à tort au stress, à la fatigue ou même à des problèmes digestifs.
appartenez-vous
à une population à risque ?